C’est l’vent, c’est l’vent frivolant
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis)
Derrièr’ chez nous y’a t’un étang.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis – les deux vers)
Trois beaux canards s’en vont nageant.
C’est le vent qui vole, qui frivole.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis)
Le fils du roi s’en va chassant.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis – les deux vers)
Il a tué mon canard blanc.
C’est le vent qui vole, qui frivole.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis)
Visa le noir, tua le blanc.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis – les deux vers)
Oh ! Fils du roi, tu es méchant !
C’est le vent qui vole, qui frivole.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis)
Par dessus l’aile, il perd son sang.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis – les deux vers)
Par les yeux lui sort’nt des diamants.
C’est le vent qui vole, qui frivole.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis)
Et par le bec l’or et l’argent.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis – les deux vers)
Que ferons-nous de tant d’argent ?
C’est le vent qui vole, qui frivole.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis)
Nous mettrons nos fill’s au couvent.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis – les deux vers)
Et les garçons au régiment.
C’est le vent qui vole, qui frivole.
C’est l’vent, c’est l’vent frivolant. (bis)